L'Agence européenne des services répressifs s'en prend aux utilisateurs de la principale plate-forme DDoS

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Europol a réprimé la plateforme illégale webstressers.org l'année dernière

1 minute de lecture Description présumée des pirates

Description présumée des pirates



Europol a réprimé le marché illégal webstresser.org l'année dernière. Le site était connu comme l'un des sites de rappel à l'origine d'attaques par déni de service distribué (DDoS). Les autorités ont trouvé des informations concernant les 151 000 utilisateurs enregistrés du site Web. Et maintenant, Europol est prêt à poursuivre ces utilisateurs enregistrés avec des actions en cours pour les réprimer.

Selon aux services répressifs, des actions sont actuellement en cours en collaboration avec la police néerlandaise et britannique. Rien qu'au Royaume-Uni, la police a saisi jusqu'à 60 appareils électroniques personnels d'utilisateurs de webstresser.org. Les appareils ont été saisis par la police dans le cadre de l'opération Power OFF. L'action et les opérations en direct contre les autres utilisateurs de webstresser.org devraient se poursuivre par les forces de l'ordre.



Europol planifie la répression des utilisateurs de Webstresser

L'Europol a déclaré qu'environ 250 utilisateurs de webstresser.org seront également bientôt confrontés à l'action. Les forces de l'ordre ont maintenant pour mission d'effacer les plates-formes DDoS afin qu'elles ne puissent causer aucun dommage à l'avenir. Actuellement, tous les niveaux, c'est-à-dire les petites et grandes plates-formes des plates-formes DDoS, sont sous le radar des forces de l'ordre.



Les attaques DDoS sont désormais un moyen simple de perturber Internet, causant des dégâts de plusieurs millions de dollars. Récemment, un pirate informatique de 30 ans a été condamné à 3 ans de prison pour avoir mené une attaque DDoS. Le pirate informatique a attaqué la société de téléphonie mobile du Libéria. Cette attaque a mis fin à l'accès Internet de tout le pays, causant des dommages de plusieurs millions de dollars.



Afin de freiner ces attaques DDoS, différents pays s'associent désormais pour les combattre. Certains des pays qui se sont réunis pour lutter contre les attaques DDoS comprennent les États-Unis, l'Australie, la France, l'Allemagne, la Belgique et d'autres. Ainsi, il est grand temps que les forces de l'ordre commencent une véritable répression contre les plateformes qui facilitent les attaques DDoS.